L'Atlas du monde de demain
Paris, Le Monde, 2013. 186 pages, 22 x 30 cm, broché.
Le lecteur tient entre les mains une sorte d’atlas des atlas, où il trouvera tout l’esprit de la collection. Plus que jamais, il s’agit de croiser les travaux journalistiques et universitaires, de renouveler les traitements cartographiques et finalement d’offrir la réflexion la plus contemporaine et les références les plus précises dont il soit possible de disposer.
On peut d’ailleurs être saisi d’une forme de vertige devant l’ampleur des possibles que cet atlas fait découvrir. Pour le meilleur ou pour le pire, c’est tout l’Homme et toute la planète qui se transforment à un rythme accéléré. Le monde change d’axe. Les affaires internationales ne s’organisent plus ni autour de l’Atlantique ni en fonction des rapports Nord-Sud. L’atlas permet de mieux envisager une transformation géopolitique, dont les Européens ne semblent pas avoir encore pris toute la mesure. Le monde qui vient se dessine pour une large part autour du Pacifique. Parallèlement, les échanges s’accélèrent, les déplacements se massifient, et pas seulement dans le domaine virtuel, comme le montre la carte du tourisme planétaire. Culturellement, politiquement, économiquement, la place de la France dans ce paysage nouveau semble incertaine.
Nous entrons, estiment certains experts, dans l’ère de l’anthropocène, ce nouvel âge de la planète où l’Homme devient le principal facteur de transformation de la nature, ce dont témoignent les inquiétudes liées au climat ou à la diminution drastique de la biodiversité. À ce bouleversement de son environnement immédiat correspond une mutation de l’espèce Homo sapiens. Après avoir dominé l’ordre des primates et éliminé depuis belle lurette ses rivaux néandertaliens, elle envisage désormais de se remplacer elle-même par l’homme augmenté, également appelé cyborg.
Utopie ou cauchemar ? Nous laissons le lecteur juger.
Un ouvrage de 200 cartes organisées en 5 grands chapitres :
- Le monde de demain.
- Mondialisations et après.
- Les nouvelles utopies.
- Une civilisation planétaire ?
- Bientôt tous minoritaires ?
On peut d’ailleurs être saisi d’une forme de vertige devant l’ampleur des possibles que cet atlas fait découvrir. Pour le meilleur ou pour le pire, c’est tout l’Homme et toute la planète qui se transforment à un rythme accéléré. Le monde change d’axe. Les affaires internationales ne s’organisent plus ni autour de l’Atlantique ni en fonction des rapports Nord-Sud. L’atlas permet de mieux envisager une transformation géopolitique, dont les Européens ne semblent pas avoir encore pris toute la mesure. Le monde qui vient se dessine pour une large part autour du Pacifique. Parallèlement, les échanges s’accélèrent, les déplacements se massifient, et pas seulement dans le domaine virtuel, comme le montre la carte du tourisme planétaire. Culturellement, politiquement, économiquement, la place de la France dans ce paysage nouveau semble incertaine.
Nous entrons, estiment certains experts, dans l’ère de l’anthropocène, ce nouvel âge de la planète où l’Homme devient le principal facteur de transformation de la nature, ce dont témoignent les inquiétudes liées au climat ou à la diminution drastique de la biodiversité. À ce bouleversement de son environnement immédiat correspond une mutation de l’espèce Homo sapiens. Après avoir dominé l’ordre des primates et éliminé depuis belle lurette ses rivaux néandertaliens, elle envisage désormais de se remplacer elle-même par l’homme augmenté, également appelé cyborg.
Utopie ou cauchemar ? Nous laissons le lecteur juger.
Un ouvrage de 200 cartes organisées en 5 grands chapitres :
- Le monde de demain.
- Mondialisations et après.
- Les nouvelles utopies.
- Une civilisation planétaire ?
- Bientôt tous minoritaires ?
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